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City Lights; quand l'art l'urbain et le contemporain se rencontrent!


C’est par une annonce Facebook que j’ai pu découvrir le musée MIMA situé à Bruxelles avec l’exposition « City Lights ». Le titre de l’exposition, ‘City Lights’ est une traduction visuelle de cette pensée renvoyant en même temps au film de Chaplin qui raconte l’histoire d’un vagabond triomphant de la solitude et de la vanité des charmes consuméristes de la ville par l’amour.


City Lights est ici une métaphore pour désigner les 5 artistes dont le musée présente ces personnes comme des charlots qui ont appris à communiquer un plaisir empathique, au travers de leurs créations, dans les musées mais également dans la rue. Ce sont les projets urbains qui ont commencé à les faire gagner en popularité au fil des ans. es 5 artistes se prénomment Swoon, Maya hayuk, MoMo et FAILE (FAILE est le nom d’un duo).


Je vous avoue ne pas trop m’y connaître l’art contemporain, je fonctionne surtout au coup de coeur, aux sensations que je peux ressentir à travers une oeuvre, ou encore parfois par sa représentation quand j’arrive à la comprendre!

City Lights m’a beaucoup plus, les oeuvres des artistes étaient assez parlante, on arrivait facilement à comprendre les oeuvres. Certains voulaient simplement jouer avec les matières la lumière, voulant donner une dimension tout autre à la pièce par leurs installations, ou d’autres artistes, plus engagés, dénonçaient la violence à travers la couleur.


Ce qui m’a déplu est de voir que le prix pour les étudiants est assez élevé: 7,5 euros, le prix d’une place de cinéma. C’est là que je me dis que le musée ne s’ouvre pas forcément aux jeunes publics, c’est le choix du musée, je respecte, de plus, je ne connais pas les subventions qu’à droit le musée, donc je n’en tiens pas vraiment rigueur, mais bon je me dis qu’un jeune mettrais plus facilement ce prix pour aller au cinéma que pour aller voir une exposition sur des oeuvres de l’art contemporain. Par contre l’accueil est très sympathique, on a même eu droit à un livre photo sur l’exposition qui coûtait 5euros, car l’exposition prenait fin 3 jours plus tard! Au final j’ai apprécié cette exposition qui m’a touché de manière brut, à l’instinct et à la réflection seulement après. D’ailleurs le 3 février une nouvelle exposition verra le jour pour « A friendly Takeover » de Boris Tellegen, un artiste contemporain jouant sur les formes, les couleurs et la matière!


Vous m’y verrez sûrement!



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